Je suis Damon , La mort elle même , Mais je ne suis pas comme vous pouvez le croire , Je ne suis n'y un sac d'os n'y la grande faucheuse , Je suis juste un homme sombres de 16 ans . Je vais découvrir la plus grande faiblesse des humains , les sentiments .

Ce matin là, je me suis réveillé avec un mal de tête , qui était sans doute dû à ma dernière victime , qui avait réussi à me mettre une balle dans le crâne . D'ailleurs, son corps reposait encore à côté de la fenêtre de la voisine . Sa maison était entourée de trois voitures policières qui étaient venues examiner le cadavre . Je sortais de mon lit froid, tout comme mon coeur. Et je me vêtis d'un jean et d'un sweat à capuche noir. J'ouvrait la porte et je prenais le chemin du lycée , accompagné de mon ombre et de ma solitude . Une fois arrivé au lycée, comme à mon habitude, j'allais m’asseoir sur un banc, seul, sans me faire remarquer, mais un groupe de garçons de mon âge, qui n'était pas très aimé au lycée,voulais ce rendre intéressant et donc parlait de moi . Une fois assis sur le banc de la cour, je pris mon téléphone et regardait mes prochaines victimes. La sonnerie retentit et j'allais à mon cour de français.Je m'asseyais dans le fond, seul, à côté de la fenêtre. Tout le monde me fuyait comme la peste, j'étais trop anormal pour eux, même si cela est vrai. Je ne suis pas ordinaire, j'suis la mort après tout. On m'appelle Damon, pour paraître 'normal', mais mon vrai nom est "Death, le prince des ténèbres". Je ne suis pas comme tout le monde dis un homme fais d'os avec sa grande faux , je ne suis qu'un lycéen de 16 ans mais qui en a en vérité des millénaires . La sonnerie retentissait à la fin du cour, pour signaler celui-ci. Comme toujours, je n'avais rien suivis du coup, je connaissais déjà ce que la prof disait. Une fois mon sac pris, je repartis chez moi, bizarrement une fille me suivait, ça devait être une fille d'une autre classe car je ne l'avais jamais vu auparavant. Elle venait, sans doute de déménager dans la maison construite il y a peu. Enfin arrivais-je chez moi que je l'ai vu, me sourire en me disant "A demain"